Comme un écho parisien à la Biennale de Venise, l’exposition fait la part belle au rêve et à l’imagination. Elle nous offre une autre vision de Venise, abstraite dans ce qu’elle a pourtant de plus concret.
L’artiste italien Renato D’Agostin retourne à ses racines vénitiennes et change d’échelle. Du 6 septembre au 23 octobre, il dévoile chez Bigaignon une série inédite autour des deux éléments fondateurs de la Sérénissime que sont l’eau et le bois, dans une installation à couper le souffle où se côtoient tirages argentiques grand format, sculptures, vidéo et empreintes photographiques.